Le vivre ensemble du libéralisme !
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Le vivre ensemble du libéralisme !
Le "vivre ensemble" du libéralisme
Le "vivre ensemble" est un mot et un concept qui semblent se déprécier de plus en plus, se "ringardiser", parce qu'ils évoqueraient la mollesse, la tolérance
ingénue, la chimère d'un "collectif protecteur et providentiel", la tranquillité comme finalité, à l'opposé des valeurs de compétition, de concurrence , d'ascendant
individuel et d'autorité, de conquête. Dupé par ce raccourci, on pourrait conclure que le libéralisme n'a rien à faire du "vivre ensemble", que la " western attitude "
est sa valeur originelle et fondamentale, sa nature, … à préserver ou à régénérer.
Observons d'abord que les Etats-Unis, considérés comme le berceau du libéralisme ou au moins son principal acteur, sont tenus aussi pour le plus grand Pays dé -
mocratique ! Il faut ensuite se résoudre à cette évidence que le problème du "vivre ensemble" est primordial dès lors qu'on considère que nous sommes les repré -
sentants "pensants et sociaux" du règne animal. Il faut bien l'assumer. Il n'y a donc aucune ineptie à chercher des solutions au "vivre ensemble", aucune honte à les
avouer. Le libéralisme en est une, qui concilie individu et collectif dans ses contenus économiques et politiques.
Le "marché libre" semble proche de la "western attitude", mais "l'individu" est là l'entreprise, une entité collective, à condition qu'on lui reconnaisse ces attributs et
qu'on l'organise en tant que telle . En outre, le libéralisme mise sur " le ruissellement et la main invisible" pour être accepté, qui ne sont rien d'autre que le bilan des mécanismes du marché libre, y compris pour le travail, exercés dans le nombre et la diversité de la concurrence, à condition qu'elle soit loyale et réellement entrete -
nue. On est donc dans "le collectif", aussi .
Le deuxième moteur du libéralisme est politique. Il fonctionne dans le "collectif" de deux manières principales: ce collectif n'y est pas "l'universel", mais "la Nation"
(entité bien plus restreinte et plus prometteuse de succès) qui regroupe, justement , des individus ayant la volonté de "vivre ensemble" à partir de conditions expri -
mées (droits et devoirs, loi, …), approuvées et exercées individuellement ; l'autre face du "collectif politique" est la démocratie, aujourd'hui indirecte et élective. C'est
sa version "représentative" (députés, exécutif) qui donne sa place à l'individu qui reçoit délégation de la collectivité qui lui donne mandat et sa confiance … à renouveler !
Le libéralisme est ainsi une option du "vivre ensemble", donc sociale … Quelle découverte !!
Le "vivre ensemble" est un mot et un concept qui semblent se déprécier de plus en plus, se "ringardiser", parce qu'ils évoqueraient la mollesse, la tolérance
ingénue, la chimère d'un "collectif protecteur et providentiel", la tranquillité comme finalité, à l'opposé des valeurs de compétition, de concurrence , d'ascendant
individuel et d'autorité, de conquête. Dupé par ce raccourci, on pourrait conclure que le libéralisme n'a rien à faire du "vivre ensemble", que la " western attitude "
est sa valeur originelle et fondamentale, sa nature, … à préserver ou à régénérer.
Observons d'abord que les Etats-Unis, considérés comme le berceau du libéralisme ou au moins son principal acteur, sont tenus aussi pour le plus grand Pays dé -
mocratique ! Il faut ensuite se résoudre à cette évidence que le problème du "vivre ensemble" est primordial dès lors qu'on considère que nous sommes les repré -
sentants "pensants et sociaux" du règne animal. Il faut bien l'assumer. Il n'y a donc aucune ineptie à chercher des solutions au "vivre ensemble", aucune honte à les
avouer. Le libéralisme en est une, qui concilie individu et collectif dans ses contenus économiques et politiques.
Le "marché libre" semble proche de la "western attitude", mais "l'individu" est là l'entreprise, une entité collective, à condition qu'on lui reconnaisse ces attributs et
qu'on l'organise en tant que telle . En outre, le libéralisme mise sur " le ruissellement et la main invisible" pour être accepté, qui ne sont rien d'autre que le bilan des mécanismes du marché libre, y compris pour le travail, exercés dans le nombre et la diversité de la concurrence, à condition qu'elle soit loyale et réellement entrete -
nue. On est donc dans "le collectif", aussi .
Le deuxième moteur du libéralisme est politique. Il fonctionne dans le "collectif" de deux manières principales: ce collectif n'y est pas "l'universel", mais "la Nation"
(entité bien plus restreinte et plus prometteuse de succès) qui regroupe, justement , des individus ayant la volonté de "vivre ensemble" à partir de conditions expri -
mées (droits et devoirs, loi, …), approuvées et exercées individuellement ; l'autre face du "collectif politique" est la démocratie, aujourd'hui indirecte et élective. C'est
sa version "représentative" (députés, exécutif) qui donne sa place à l'individu qui reçoit délégation de la collectivité qui lui donne mandat et sa confiance … à renouveler !
Le libéralisme est ainsi une option du "vivre ensemble", donc sociale … Quelle découverte !!
max mayneris- Nombre de messages : 215
Age : 78
Localisation : Dax
Date d'inscription : 21/01/2016
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