LE "FLOUSE" ET LE BLUES DES RETRAITES !
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LE "FLOUSE" ET LE BLUES DES RETRAITES !
Le "FLOUSE" et le BLUES des retraités !
On discute beaucoup, ces temps-ci, du sort fiscal des retraités. On peut en comprendre simplement l'enjeu et le jeu en considérant une seule justification : la
baisse de la dépense publique.
Il est d'abord nécessaire de rappeler que le poste le plus important du budget est celui des retraites (environ ¼ du budget, 10 fois le budget de la Défense !)*.
On ne peut imaginer de baisser la dépense publique sans s'attaquer à ce poste … ! La réforme des retraites (durée, système à points pour "niveler" public-privé)
est politiquement risqué. Il n'est donc pas étonnant, en attendant la réforme, que l'on ponctionne les retraités par l'intermédiaire de la CSG ( … ou autrement) pour
obtenir la baisse de la dépense publique nécessaire à la croissance et à son maintien selon l'opinion vraisemblablement juste des économistes. La baisse des coti -
sations patronales va aggraver encore la situation des organismes publics de paiement des retraites. Ne nous étonnons donc pas des dispositions fiscales concernant
les retraités. N'oublions pas aussi que l'on considère que, globalement, les retraités constitueraient la catégorie de population la plus "aisée" !
* les postes du budget les plus élevés après les retraites sont la santé, puis les allocations familiales.
On discute beaucoup, ces temps-ci, du sort fiscal des retraités. On peut en comprendre simplement l'enjeu et le jeu en considérant une seule justification : la
baisse de la dépense publique.
Il est d'abord nécessaire de rappeler que le poste le plus important du budget est celui des retraites (environ ¼ du budget, 10 fois le budget de la Défense !)*.
On ne peut imaginer de baisser la dépense publique sans s'attaquer à ce poste … ! La réforme des retraites (durée, système à points pour "niveler" public-privé)
est politiquement risqué. Il n'est donc pas étonnant, en attendant la réforme, que l'on ponctionne les retraités par l'intermédiaire de la CSG ( … ou autrement) pour
obtenir la baisse de la dépense publique nécessaire à la croissance et à son maintien selon l'opinion vraisemblablement juste des économistes. La baisse des coti -
sations patronales va aggraver encore la situation des organismes publics de paiement des retraites. Ne nous étonnons donc pas des dispositions fiscales concernant
les retraités. N'oublions pas aussi que l'on considère que, globalement, les retraités constitueraient la catégorie de population la plus "aisée" !
* les postes du budget les plus élevés après les retraites sont la santé, puis les allocations familiales.
max mayneris- Nombre de messages : 215
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Date d'inscription : 21/01/2016
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