Bilan !
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Bilan !
BILAN !
Nos élections présidentielles et législatives ont donné un verdict sans équivoque, peu surprenant : une lassitude certaine, momentanée, de « la droite »
et de « la gauche » habituelles, et surtout de leur affrontement systématique , permanent, sans résultats .
Soit .
Mais le signal le plus fort est sans aucun doute le niveau d’abstention record aux élections législatives, auquel on doit encore ajouter les votes blancs
et nuls passés sous silence. Il ne désigne pas un « parti », mais il envoie un « message ». Il ne serait inquiétant que si son interprétation était difficile.
Ce n’est pas le cas, il ne reste donc qu’à l’entendre et à en tenir compte, si on l’estime judicieux .
Sans être un analyste de haut niveau, on peut prendre le risque de désigner au moins deux causes à ce « rejet » des urnes :
- la première traduit la « désolidarisation » des citoyens et des « hommes politiques » objets de cette élection, jugés globalement insuffisam -
ment exemplaires (en partie injustement) , ligotés à des partis et peu indépendants d’esprit, passionnés de politique « politicienne » plutôt que soucieux
de l’intérêt général … ;
- la deuxième traduit l’insatisfaction ressentie dans la manière dont s’exerce le pouvoir politique, et en particulier le partage démocratique de
ce pouvoir qui, pratiquement, se limite à cette élection de députés « étiquetés », censés représenter l’opinion des citoyens et faire agir leur volonté, hélas
variable « politiquement » au gré des circonstances, des sujets abordés, …
Les Français ont ainsi vraisemblablement le sentiment qu’ils subissent une forme de « dictature des partis » ! Surmonter ces difficultés relève du talent et
de l’imagination de nos spécialistes de « Sciences Politiques ». A eux de jouer … !
Ce jugement peut paraître sévère, il est bien sûr contestable. Il est sévère parce que la nécessité de la politique n’est pas mise en doute, mais que l’exigence
de qualité que l’on doit avoir pour elle est forte, notamment dans sa teneur en vertus « cardinales » : la prudence, la tempérance, le courage !
Il sera surtout contestable si la formule « en marche » ne donne pas de meilleurs résultats que les formules antérieures . .
Nos élections présidentielles et législatives ont donné un verdict sans équivoque, peu surprenant : une lassitude certaine, momentanée, de « la droite »
et de « la gauche » habituelles, et surtout de leur affrontement systématique , permanent, sans résultats .
Soit .
Mais le signal le plus fort est sans aucun doute le niveau d’abstention record aux élections législatives, auquel on doit encore ajouter les votes blancs
et nuls passés sous silence. Il ne désigne pas un « parti », mais il envoie un « message ». Il ne serait inquiétant que si son interprétation était difficile.
Ce n’est pas le cas, il ne reste donc qu’à l’entendre et à en tenir compte, si on l’estime judicieux .
Sans être un analyste de haut niveau, on peut prendre le risque de désigner au moins deux causes à ce « rejet » des urnes :
- la première traduit la « désolidarisation » des citoyens et des « hommes politiques » objets de cette élection, jugés globalement insuffisam -
ment exemplaires (en partie injustement) , ligotés à des partis et peu indépendants d’esprit, passionnés de politique « politicienne » plutôt que soucieux
de l’intérêt général … ;
- la deuxième traduit l’insatisfaction ressentie dans la manière dont s’exerce le pouvoir politique, et en particulier le partage démocratique de
ce pouvoir qui, pratiquement, se limite à cette élection de députés « étiquetés », censés représenter l’opinion des citoyens et faire agir leur volonté, hélas
variable « politiquement » au gré des circonstances, des sujets abordés, …
Les Français ont ainsi vraisemblablement le sentiment qu’ils subissent une forme de « dictature des partis » ! Surmonter ces difficultés relève du talent et
de l’imagination de nos spécialistes de « Sciences Politiques ». A eux de jouer … !
Ce jugement peut paraître sévère, il est bien sûr contestable. Il est sévère parce que la nécessité de la politique n’est pas mise en doute, mais que l’exigence
de qualité que l’on doit avoir pour elle est forte, notamment dans sa teneur en vertus « cardinales » : la prudence, la tempérance, le courage !
Il sera surtout contestable si la formule « en marche » ne donne pas de meilleurs résultats que les formules antérieures . .
max mayneris- Nombre de messages : 215
Age : 78
Localisation : Dax
Date d'inscription : 21/01/2016
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