Le pouvoir d'achat
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Le pouvoir d'achat
LE PROBLEME DES REVENUS
Pourquoi un militaire s'intéresserait-il à cette question d'économie sociale ? " Celui qui n'est que militaire est un mauvais militaire, écrivait Lyautey à juste raison" ( extrait de "Servir" . Gal P. de Villiers) .
La question du "pouvoir d'achat", ou des revenus, a été révélée par l'actualité comme une question essentielle de notre efficacité économique ( si l'on considère que l'économie est au service des citoyens, plutôt que l'inverse) et, surtout, comme une condition de la solidité de notre cohésion sociale et nationale. Le pouvoir d'achat des moins bien pourvus montre le degré de solidarité consenti dans la Nation.
Le pouvoir d'achat, le revenu des ménages sont, pour l'essentiel, la distribution de la richesse produite par les entreprises ( 4 actifs sur 5, en France, sont salariés par les entreprises). On conçoit donc aisément qu'ils dépendent bien plus de l'activité de ces entreprises et de leurs résultats que de la générosité de l'Etat. Ce dernier, dans le cadre de sa politique sociale, ne peut que distribuer des aides complé - mentaires (dans la limite du budget qui lui est voté), et définir un "smic". Ce rôle doit permettre d'assurer des salaires et revenus per - mettant une vie "digne" pour tout citoyen Français. Cette responsabilité ne peut qu'être partagée avec les entreprises, évidemment. L'Etat doit certes fixer un smic mais, par un excès de "générosité imposée", il peut, d'un coup de "verticalité", ruiner nombre de petites et moyennes entreprises ... Le niveau du smic ne peut être fixé que par négociation entre parties préparées à cet exercice et il doit tenir compte, aussi, des pratiques en Europe, voire ailleurs. Bon courage aux négociateurs, et souhaitons un aboutissement à ces concilia - bules, dans l'intérêt général !
Pourquoi un militaire s'intéresserait-il à cette question d'économie sociale ? " Celui qui n'est que militaire est un mauvais militaire, écrivait Lyautey à juste raison" ( extrait de "Servir" . Gal P. de Villiers) .
La question du "pouvoir d'achat", ou des revenus, a été révélée par l'actualité comme une question essentielle de notre efficacité économique ( si l'on considère que l'économie est au service des citoyens, plutôt que l'inverse) et, surtout, comme une condition de la solidité de notre cohésion sociale et nationale. Le pouvoir d'achat des moins bien pourvus montre le degré de solidarité consenti dans la Nation.
Le pouvoir d'achat, le revenu des ménages sont, pour l'essentiel, la distribution de la richesse produite par les entreprises ( 4 actifs sur 5, en France, sont salariés par les entreprises). On conçoit donc aisément qu'ils dépendent bien plus de l'activité de ces entreprises et de leurs résultats que de la générosité de l'Etat. Ce dernier, dans le cadre de sa politique sociale, ne peut que distribuer des aides complé - mentaires (dans la limite du budget qui lui est voté), et définir un "smic". Ce rôle doit permettre d'assurer des salaires et revenus per - mettant une vie "digne" pour tout citoyen Français. Cette responsabilité ne peut qu'être partagée avec les entreprises, évidemment. L'Etat doit certes fixer un smic mais, par un excès de "générosité imposée", il peut, d'un coup de "verticalité", ruiner nombre de petites et moyennes entreprises ... Le niveau du smic ne peut être fixé que par négociation entre parties préparées à cet exercice et il doit tenir compte, aussi, des pratiques en Europe, voire ailleurs. Bon courage aux négociateurs, et souhaitons un aboutissement à ces concilia - bules, dans l'intérêt général !
max mayneris- Nombre de messages : 215
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