L'efficacité "générationnelle" .
Page 1 sur 1
L'efficacité "générationnelle" .
L'EFFICACITE "GENERATIONNELLE"
L'actualité nous conduit à des interrogations sur l'efficacité de l'Etat, celle de la fiscalité ... Cette qualité peut être évaluée rationnellement par des résultats mesurés, chiffrés. Le "ressenti", c'est-à-dire l'effet émotionnel des politiques menées est sans doute bien plus important. Le recours aux "chiffres" est néanmoins indispensable, car il permet d'encadrer le "ressenti", d'en révéler les erreurs ou les illusions. Il est cependant évident qu'on ne peut construire "une politique" avec des chiffres ("... une politique qui ne fait pas rêver est condamnée" - Gal de Gaulle -).
Une autre question essentielle à se poser sur l'efficacité de "la société en marche", est celle de l'héritage laissé à nos descendants. On peut reformuler plus concrètement cette question en se demandant quelles "menaces" vont peser sur nos successeurs, en conséquence de nos actes ou de notre insouciance. De ce point de vue, on peut évoquer :
- la menace écologique;
- la menace de la perte de confiance dans le progrès;
- la menace de l'insécurité liée à l'instabilité du monde;
- la menace d'une désagrégation de notre société;
- la menace de la dette.
Je ne suis pas suffisamment expert pour apprécier le degré et l'importance relative de ces menaces. On peut tout de même identifier quelques facteurs primordiaux pour y faire face :
- l'éducation, le civisme;
- la solidarité, la cohésion nationale, le patriotisme;
- le respect et la crainte inspirées ;
- l'insertion dans un "pôle" de puissance et d'efficacité économique supranational, dès lors que le monde est en
voie d'organisation "multipolaire";
- le développement du savoir, de la science et de la technologie.
Si notre "génération" n'a pas fait le nécessaire dans ces domaines, nos successeurs devront s'évertuer à rattraper le retard au plus vite ...
L'actualité nous conduit à des interrogations sur l'efficacité de l'Etat, celle de la fiscalité ... Cette qualité peut être évaluée rationnellement par des résultats mesurés, chiffrés. Le "ressenti", c'est-à-dire l'effet émotionnel des politiques menées est sans doute bien plus important. Le recours aux "chiffres" est néanmoins indispensable, car il permet d'encadrer le "ressenti", d'en révéler les erreurs ou les illusions. Il est cependant évident qu'on ne peut construire "une politique" avec des chiffres ("... une politique qui ne fait pas rêver est condamnée" - Gal de Gaulle -).
Une autre question essentielle à se poser sur l'efficacité de "la société en marche", est celle de l'héritage laissé à nos descendants. On peut reformuler plus concrètement cette question en se demandant quelles "menaces" vont peser sur nos successeurs, en conséquence de nos actes ou de notre insouciance. De ce point de vue, on peut évoquer :
- la menace écologique;
- la menace de la perte de confiance dans le progrès;
- la menace de l'insécurité liée à l'instabilité du monde;
- la menace d'une désagrégation de notre société;
- la menace de la dette.
Je ne suis pas suffisamment expert pour apprécier le degré et l'importance relative de ces menaces. On peut tout de même identifier quelques facteurs primordiaux pour y faire face :
- l'éducation, le civisme;
- la solidarité, la cohésion nationale, le patriotisme;
- le respect et la crainte inspirées ;
- l'insertion dans un "pôle" de puissance et d'efficacité économique supranational, dès lors que le monde est en
voie d'organisation "multipolaire";
- le développement du savoir, de la science et de la technologie.
Si notre "génération" n'a pas fait le nécessaire dans ces domaines, nos successeurs devront s'évertuer à rattraper le retard au plus vite ...
max mayneris- Nombre de messages : 215
Age : 78
Localisation : Dax
Date d'inscription : 21/01/2016
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum