Point de progression sans ... point de situation !
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Point de progression sans ... point de situation !
Point de progression sans ... point de situation !
Chez les militaires, un ordre d'opérations est précédé d'un point de situation ...
On peut résumer notre situation (non militaire) actuelle par quelques observations: "ras-le-bol" fiscal, difficultés budgé -
taires de beaucoup de ménages, dégradation des services publics, endettement (déficit budgétaire, déficit public), lourde charge de l'Etat ( dépense publique de l'ordre de 50% du PIB, dont bien plus de la moitié pour financer une action sociale qui a conduit à "s'enfiler des jaunes" !). Cette situation est, bien sûr, autant un héritage qu'une mauvaise manoeuvre
nouvelle et soudaine. Partant de ce constat, on peut se risquer à quelques conclusions.
Une "modération" de la charge sociale de l'Etat ne serait-elle pas bienvenue ( limitation au financement des mesures de lutte contre la grande pauvreté; prise en charge des "ruptures sociales";mise en place de solides services publics "stra - tégiques pour le temps de paix"), et plus grande responsabilisation individuelle du citoyen ? Cette voie nécessite un accompagnement par une réelle hausse des salaires, une réelle clarification de l'impôt et sa diminution ... La recherche de solutions politiques à nos problèmes autres que par des mesures financières serait, aussi, bienvenue. Plus facile à dire
qu'à faire, car on va encore se heurter à des histoires de "gauche" et de "droite", dont on ne se sortira pas.
Finalement, une bonne dose de patriotisme et de civisme fera vraisemblablement mieux qu'une "resucée" de "gauche" ou de "droite" pour se sortir paisiblement de cette situation !
Chez les militaires, un ordre d'opérations est précédé d'un point de situation ...
On peut résumer notre situation (non militaire) actuelle par quelques observations: "ras-le-bol" fiscal, difficultés budgé -
taires de beaucoup de ménages, dégradation des services publics, endettement (déficit budgétaire, déficit public), lourde charge de l'Etat ( dépense publique de l'ordre de 50% du PIB, dont bien plus de la moitié pour financer une action sociale qui a conduit à "s'enfiler des jaunes" !). Cette situation est, bien sûr, autant un héritage qu'une mauvaise manoeuvre
nouvelle et soudaine. Partant de ce constat, on peut se risquer à quelques conclusions.
Une "modération" de la charge sociale de l'Etat ne serait-elle pas bienvenue ( limitation au financement des mesures de lutte contre la grande pauvreté; prise en charge des "ruptures sociales";mise en place de solides services publics "stra - tégiques pour le temps de paix"), et plus grande responsabilisation individuelle du citoyen ? Cette voie nécessite un accompagnement par une réelle hausse des salaires, une réelle clarification de l'impôt et sa diminution ... La recherche de solutions politiques à nos problèmes autres que par des mesures financières serait, aussi, bienvenue. Plus facile à dire
qu'à faire, car on va encore se heurter à des histoires de "gauche" et de "droite", dont on ne se sortira pas.
Finalement, une bonne dose de patriotisme et de civisme fera vraisemblablement mieux qu'une "resucée" de "gauche" ou de "droite" pour se sortir paisiblement de cette situation !
max mayneris- Nombre de messages : 215
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Date d'inscription : 21/01/2016
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